FOIRE AUX QUESTIONS

Les précautions sont:

• être accompagné d’un adulte la première nuit suivant l’intervention.
• Il est interdit d’utiliser des engins, machines ou électroménagers dangereux.
• Ne pas absorber d’alcool, des tranquillisants.
• Ne pas prendre de décisions importantes.
• Vous pouvez vous alimenter normalement.
• Vous pouvez continuer votre traitement habituel.

Du point de vue ophtalmologique, il est normal que vous puissiez ressentir une légère gêne, une sensation de corps étranger, que l’œil soit rouge pendant quelques jours.

Évitez de vous frotter l’œil et suivez scrupuleusement les prescriptions de l’ordonnance de sortie qui vous a été remise.

Non, le Docteur n’opère pas de la chirurgie réfractive.

Avant de mettre vos gouttes, lavez vous bien les mains à l’eau et au savon.

Penchez la tête en arrière et regardez vers le haut.

Tirez sur la paupière du bas pour former un creux.

Appuyer sur le flacon ou l’unidose pour libérer une goutte.

Essayer de ne pas toucher votre oeil pour ne pas contaminer le flacon avec des microbes.

Si vous avez plusieurs collyres à instiller, il est conseillé d’attendre quelques minutes entre chaque goutte, le temps que l’oeil absorbe la goutte.

Mettre ses gouttes  dans les yeux  = Instillation d’un collyre (source le SNOF)

Ils ont, a priori, la même efficacité que le médicament dit « princeps ». Parfois, on constate une différence dans la tolérance du traitement qui peut être différente avec les collyres génériques. Si vous constatez une différence notable n’hésitez pas à en parler à votre ophtalmologue. 

Mettre ses gouttes  dans les yeux  = Instillation d’un collyre (source le SNOF)

Si vous arrêtez les gouttes, la tension va remonter tout de suite. Les gouttes sont éliminées par le corps (comme un repas par exemple) et au bout de 24 ou 12 heures selon les gouttes, elles ne sont donc plus actives passé ce délai : la tension remonte. C’est un traitement à vie, sauf si l’on opère.

Pour éviter le picotement, il est possible de mettre les collyres au réfrigérateur : la goutte glacée entraine moins de douleurs. En cas de mauvais goût dans la bouche, il est possible de faire une occlusion du point lacrymal : c’est-à-dire comprimer le rebord nasal de la paupière inférieure avec son doigt propre, pendant 1 minute après chaque instillation. Ainsi, le collyre ne passe pas par la voie lacrymale et a donc moins de retentissement sur l’état général.

Si vous passez l’heure de la goutte, il faut quand même la mettre plus tard. Le glaucome ne s’aggrave pas en 5 minutes pour une goutte manquée. Mais effectivement si cela se répète, la tension pourrait ne pas être équilibrée sur la journée.

Il est indispensable de mettre le traitement le jour de la consultation pour savoir s’il est efficace ou non. En effet, si le traitement n’est pas instillé et si la tension n’est pas bonne, votre ophtalmologiste ne pourra pas savoir si le traitement n’est pas adapté.

Mettre ses gouttes  dans les yeux  = Instillation d’un collyre (source le SNOF)

Parce que le traitement de la rétine décollée est seulement chirurgical. Le traitement par laser seul n’est plus possible à ce stade.

Il vous sera indiqué sur votre bulletin de sortie la position à respecter ainsi que le nombre de jours durant lesquels il faudra la maintenir (cette position dépendra de votre cas particulier).

Lors de votre consultation au sein du pôle d’ophtalmologie, vous aurez un examen du fond de l’œil qui permettra de dépister et de déterminer la forme et le stade de la maladie. Il s’agit d’un examen indolore qui permet de visualiser les structures de l’œil situées à l’arrière du cristallin : le corps vitré, la rétine, la partie centrale de la rétine, et la macula, par exemple.

La DMLA est une maladie dégénérative de la rétine qui provoque une perte progressive de la vision. Aujourd’hui, il n’existe pas de traitement pour stopper l’évolution de la maladie, mais il est possible de ralentir sa progression grâce à des traitements médicaux et à des mesures préventives.

Il est indispensable de mettre le traitement le jour de la consultation pour savoir s’il est efficace ou non. En effet, si le traitement n’est pas instillé et si la tension n’est pas bonne, votre ophtalmologiste ne pourra pas savoir si le traitement n’est pas adapté.

Mettre ses gouttes  dans les yeux  = Instillation d’un collyre (source le SNOF)

La maladie ne peut être guérie. L’objectif principal est de ralentir sa progression. Différentes stratégies sont utilisées, votre ophtalmologue vous orientera vers le traitement approprié à votre cas afin de ralentir la maladie.

La DMLA peut toucher un œil comme les deux yeux, mais il est bon d’être conscient que le risque de bilatéralisation est de 10 % à un an et de 42 % à cinq ans, selon l’Inserm, l’Institut national de la santé et de la recherche médicale.

La poursuite de la conduite dépendra de l’acuité visuelle mesurée lors des examens. Votre ophtalmologue vous tiendra informé de l’évolution de celle-ci ainsi que de la possibilité de continuer à conduire ou non.

La DMLA est une maladie dégénérative de la macula, la partie centrale de la rétine, qui permet la vision fine et les activités quotidiennes telles que la lecture et la conduite. La DMLA est la cause principale de cécité chez les personnes de plus de 50 ans dans les pays industrialisés. Les premiers symptômes de la DMLA sont généralement une diminution progressive de la vision centrale et des difficultés à effectuer des activités nécessitant une vision fine, telles que la lecture et la conduite.

Il n’y a pas de cause précise pour cette maladie, mais plusieurs facteurs de risques, comme l’âge, les antécédents familiaux, le tabagisme et d’autres facteurs. La dégénérescence maculaire n’est pas causée par un usage trop intensif de vos yeux, comme le travail à l’écran ou trop de lecture.

Une perception floue ou déformée de ce qui se trouve au centre du champ visuel est l’un des premiers symptômes de la DMLA. Des taches sombres ou vides peuvent également limiter la vision centrale. Les détails et les couleurs peuvent être plus difficiles à percevoir. Un meilleur éclairage ou des aides visuelles peuvent devenir nécessaires pour la lecture ou d’autres activités demandant une acuité visuelle. En cas de doute, on en parle à son ophtalmologue.

La dégénérescence maculaire peut entraîner une perte de la vision centrale, mais il est très rare qu’elle rende aveugle. La vision périphérique (le contour) est préservée. Aux stades les plus avancés de la maladie, la capacité à mener ses activités quotidiennes peut être affectée, mais il existe des aides pour maintenir le plus possible l’autonomie.

Merci de venir accompagné(e), la dilatation des pupilles peut provoquer une gêne ou une vision floue qui contre indique la conduite.

Non, s’il est nécessaire de vous faire un fond d’œil, il sera directement réalisé au cabinet et vous resterez sur place le temps que les effets de la dilatation des pupilles s’estompent si vous n’êtes pas accompagné.

Il est indispensable de mettre le traitement le jour de la consultation pour savoir s’il est efficace ou non. En effet, si le traitement n’est pas instillé et si la tension n’est pas bonne, votre ophtalmologiste ne pourra pas savoir si le traitement n’est pas adapté.

Mettre ses gouttes  dans les yeux  = Instillation d’un collyre (source le SNOF)

Le fait d’avoir un glaucome n’empêche pas de vivre complètement normalement. En cas de glaucome grave les sports extrêmes sont à déconseiller, ainsi que les situations où l’on garde la tête en bas de façon prolongée. Par ailleurs, en cas de déficit important du champ visuel, la conduite automobile peut ne plus être autorisée.

La cécité est exceptionnelle si le glaucome est dépisté à temps. Avec un traitement adapté (à condition qu’il soit bien respecté) et une surveillance à vie, on peut obtenir la stabilisation du glaucome pour éviter le retentissement invalidant ou la cécité.

L’iridotomie laser est un traitement préventif réalisée pour éviter un glaucome par fermeture de l’angle, forme grave de glaucome. Ce laser doit être effectué en cas de malformation prédisposant à l’angle fermé que l’on dépiste lors de l’examen ophtalmologique.

La chirurgie du glaucome consiste à créer une petite valve naturelle pour que les liquides de l’œil puissent sortir plus librement. La cicatrisation met près d’un mois et demi à devenir définitive. Pendant cette période, l’œil doit changer d’équilibre et les fils mis lors de la chirurgie, dont la plupart se résorbent, déforment temporairement le globe oculaire. La vision est donc au départ très déformée et revient progressivement en un mois et demie à deux mois. Il ne faut pas changer les verres correcteurs avant.

Il y a effectivement une part héréditaire non négligeable dans la survenue du glaucome.

Pensez à informer votre ophtalmologue si vous avez des antécédents familiaux.

Lorsque le glaucome évolue, le champ visuel périphérique rétrécit, ce qui peut en effet devenir problématique pour la conduite. C’est la raison pour laquelle la législation interdit à toute personne ayant un déficit sur les 120° centraux du champ visuel binoculaire de conduire.

Le glaucome est une maladie dégénérative progressive du nerf optique. C’est une maladie potentiellement grave pouvant entraîner la cécité si elle n’est pas dépistée et traitée. Mais avec un traitement adapté (à condition qu’il soit bien respecté) et une surveillance à vie, on peut obtenir la stabilisation du glaucome pour éviter un retentissement invalidant.

En cas d’antécédents familiaux de glaucome.

De principe, il est préférable de faire un examen systématique ophtalmologique après 50 ans.

Un glaucome débutant étant asymptomatique, seul un examen chez votre ophtalmologue pourra le diagnostiquer.

Le glaucome n’entraîne aucune manifestation extérieure au début de la maladie. Le fait d’avoir de la tension dans l’œil n’entraîne généralement aucune douleur. A un stade très avancé, il existe, par contre, une diminution du champ visuel qui peut être perçu.

Il existe des contre-indications : pensez à informer votre ophtalmologue de vos traitements généraux. De même, informez votre médecin traitant si votre ophtalmologue est amené à vous traiter pour un glaucome.

La tension de l’oeil (ou tension intra-oculaire) habituelle chez l’adulte est comprise entre 10 et 21 mmHg (moyenne de 16). Elle est mesurée à l’aide d’un tonomètre à jet d’air ou d’un tonomètre de Goldmann (référence).

Définir la tension normale chez une personne donnée nécessite de connaître la rigidité de la cornée qui dépend essentiellement de son épaisseur. En effet, la mesure ne se fait pas directement dans l’humeur aqueuse mais à travers la cornée. Aussi, cette dernière (l’épaisseur de la cornée) influence la mesure.

Les personnes ayant une cornée épaisse ont une pression oculaire mesurée plus élevée que celle existant réellement dans l’œil. Par ailleurs, la pression oculaire augmente naturellement avec l’âge.

Autrement dit, la mesure de la pression oculaire n’est qu’un paramètre qui demande à être interprété par le spécialiste, en fonction de l’épaisseur cornéenne et de l’âge de la personne. Ce chiffre donné isolément ne permet donc pas d’affirmer qu’une personne est porteuse d’une maladie liée au glaucome.

Ce n’est pas parce que vous avez de l’hypertension artérielle que la tension de l’œil monte.

Après chaque injection intravitréenne, il est normal que vous ayez une sensation de brûlure ou de grain de sable jusqu’au lendemain matin. Une ordonnance vous est donnée le jour de l’injection afin de diminuer cet inconfort grâce à l’instillation des collyres prescrits.

Après chaque injection intravitréenne, il est normal que vous ayez une sensation de brûlure ou de grain de sable jusqu’au lendemain matin. Une ordonnance vous est donnée le jour de l’injection afin de diminuer cet inconfort grâce à l’instillation des collyres prescrits.

Une hémorragie du blanc de l’œil peut être constatée. Celle-ci est sans gravité et disparaît sans traitement en une dizaine de jours (elle peut s’étaler avant de disparaître).

Ces injections nécessitent des précautions d’asepsie particulières.

Il s’agit principalement d’anti VEGF ou de corticoïdes en fonction de votre pathologie.

Il peut arriver que une ou plusieurs bulles d’air apparaissent suite une injection. Elles disparaissent le plus souvent dans les 48 heures et sont sans gravité.

Au Centre des soins externes pour les IVT (injections intravitréennes).

Accès par le parking de la Polyclinique du parc, avenue du 43e Régiment d’Artillerie 14000 Caen, à côté du centre de consultations.

Téléphone: 02-31-72-72-15

Il ne faut pas se maquiller pas les yeux et le visage le jour de l’injection intravitréenne.

Avant chaque instillation de collyre, se laver les mains ou se désinfecter avec un produit hydro-alcoolique.

Il est important d’éviter de se toucher les yeux pendant plusieurs jours.

En cas de douleur, malaise, rougissement ou sensibilité à la lumière, ainsi que de baisse de la vision, il est nécessaire de consulter l’ophtalmologiste urgemment.

Il ne faut pas se maquiller les yeux et le visage le jour de l’injection intravitréenne.

Avant chaque instillation de collyre, se laver les mains ou se désinfecter avec un produit hydro-alcoolique.

Il est important d’éviter de se toucher les yeux pendant plusieurs jours.

En cas de douleur, malaise, rougissement ou sensibilité à la lumière, ainsi que de baisse de la vision, il est nécessaire de consulter l’ophtalmologiste urgemment.

Contactez en urgence l’ophtalmologue si vous ressentez des symptômes anormaux pouvant faire craindre une endophtalmie (infection de l’œil) :

douleur de l’œil,

inconfort croissant,

rougeur croissante,

baisse de la vision,

augmentation des corps flottants.

À votre sortie, vous recevez les convocations à vos rendez-vous de suivi postopératoire. Un ou une proche doit vous accompagner pour votre retour et s’assurer d’une présence à domicile lors de la première nuit.

À la maison, suivez bien les consignes de votre ophtalmologue et respectez le traitement prescrit : collyres et autres médicaments.

Si on vous a injecté du gaz dans l’œil :

– gardez la position du corps et de la tête indiquée par votre chirurgien plusieurs heures par jour, pendant environ 10 jours. Il est important de respecter cette consigne, car cela permet à la bulle de gaz d’appuyer au bon endroit sur la rétine pour la recoller.

– si vous devez subir une autre opération, informez impérativement les autres médecins de la présence de gaz dans votre œil.

– A votre sortie, un bracelet vert à porter à votre poignet vous est remis.

Vous pouvez prendre normalement vos repas. Regarder la télévision est même recommandé car cela vous aide à garder l’œil immobile.

ATTENTION: Ne voyagez ni en avion, ni à une altitude supérieure à 800 m jusqu’à ce que le gaz ait disparu. La pression dans l’œil pourrait augmenter très dangereusement et vous faire perdre la vue.

Les bons gestes :Pour une bonne récupération, signalez tout problème de constipation à votre médecin : les efforts augmentent la pression dans l’œil.

Les gestes à éviter le 1er mois

– Frotter l’œil opéré.

– Mouiller votre œil avec de l’eau lors de toilette / douche, shampoing, etc., même s’il est protégé par un pansement.

– Vous maquiller.

– Secouer la tête.

– Pratiquer des activités fatigantes (sport, ménage, jardinage, etc.).

– Porter des choses lourdes.

– Vous déplacer fréquemment.

– Conduire sans l’autorisation de votre chirurgien.

Quand se rendre immédiatement aux urgences ?

– Votre vue diminue.

– La douleur dans l’œil augmente.

– Vous avez des sécrétions importantes.

– Votre œil rougit de plus en plus.

– Les paupières enflent beaucoup.

Quand pouvez-vous reprendre le travail ?

Votre activité professionnelle, l’utilisation de machines ou d’outils et la conduite automobile sont déconseillées pendant au moins un mois.

Votre ophtalmologue vous indique quand et quelles activités vous pouvez reprendre, en fonction de votre récupération.

Lors d’une intervention sur la rétine, l’ophtalmologue peut-être amené à mettre du gaz ou du silicone afin de maintenir la rétine à plat, ce qui engendre un flou visuel qui peut durer plusieurs semaines.

Accès par entrée principale de la polyclinique du Parc

20 Av. Capitaine Georges Guynemer, 14000 Caen

Téléphone: 02-31-72-72-15

L’iridotomie laser est un traitement préventif réalisée pour éviter un glaucome par fermeture de l’angle, forme grave de glaucome. Ce laser doit être effectué en cas de malformation prédisposant à l’angle fermé que l’on dépiste lors de l’examen ophtalmologique.

La chirurgie du glaucome consiste à créer une petite valve naturelle pour que les liquides de l’œil puissent sortir plus librement. La cicatrisation met près d’un mois et demi à devenir définitive. Pendant cette période, l’œil doit changer d’équilibre et les fils mis lors de la chirurgie, dont la plupart se résorbent, déforment temporairement le globe oculaire. La vision est donc au départ très déformée et revient progressivement en un mois et demie à deux mois. Il ne faut pas changer les verres correcteurs avant.

L’ordonnance de lentilles est valable pendant 3 ans pour les plus de 16 ans. Les lentilles sont un dispositif médical en contact de l’oeil, il est préconisé d’alterner le port des lentilles avec le port des lunettes

L’ordonnance de lunettes est valable pendant 1 an si vous avez moins de 15 ans, 5 ans si vous avez entre 16 et 42 ans et 3 ans si vous avez plus de 42 ans

Oui vous devez enlever vos lentilles de contact avant de venir en consultation chez l’ophtalmologiste

Suite à votre intervention, vous recevrez un bordereau détaillé de la Polyclinique du Parc par voie postale. Ce bordereau est à envoyer avec la facture acquittée à votre mutuelle , pour un éventuel remboursement.

Non, l’ophtalmologue est un spécialiste en accès direct. Vous n’avez pas besoin d’être adressé par votre médecin traitant

L’ophtalmologue est répertorié en secteur 2 : il peut donc pratiquer des dépassements d’honoraires. Ces dépassements sont encadrés par des règles strictes et doivent être justifiés par des critères précis, tels que l’expérience du praticien, la qualité des équipements utilisés, ou encore la complexité des actes réalisés. Il est important de noter que les patients doivent être informés préalablement de ces dépassements et de leur montant.

Pour une consultation médicale, la sécurité sociale prend en charge 70% du tarif conventionnel de l’acte qui vous est facturé. Le reste est pris en charge par votre complémentaire santé selon les termes de votre contrat de prise en charge.

Chaque complémentaire santé définit elle-même son niveau de remboursement. Cependant, elles ont l’obligation de vous les communiquer. Nous vous invitons donc à vous rapprocher de votre mutuelle pour connaître ses niveaux de remboursements

L’intervention : est réalisée alors que le patient est installé sur le dos, en milieu chirurgical stérile et sous microscope. Elle consiste, par un geste chirurgical endoculaire, à retirer dans un premier temps le vitré (vitrectomie).

Dans un second temps, à l’aide de micro-instruments, des membranes peuvent être retirées de la surface de la rétine centrale. L’intervention s’achève en remplissant l’œil avec un gaz.

Le gaz est éliminé progressivement au cours des premières semaines qui suivent l’opération. Les voyages en avion ou à la montagne sont contre-indiqués en présence de gaz intraoculaire. En cas d’anesthésie générale pour un autre motif, la présence de gaz intraoculaire doit être signalée à l’anesthésiste. Le chirurgien peut être amené à tout moment à modifier, selon le déroulement de l’intervention, son plan initial

Le trou maculaire correspond à un trou qui se forme au centre de la rétine, appelé macula. Il s’agit

d’une pathologie habituellement liée au vieillissement de l’œil. Ce trou peut entraîner une baisse progressive de l’acuité visuelle jusqu’à une tache centrale et des déformations.

Le champ visuel est le seul examen qui permet de visualiser la façon dont le nerf optique fonctionne, c’est donc un examen indispensable pour :

– le diagnostic du glaucome

– définir le stade de la maladie

– savoir si le glaucome est stabilisé ou évolutif

C’est un mode particulier d’échographie qui permet d’analyser l’état de l’angle irido-cornéen (ouvert ou fermé) dans les cas difficiles.

Le Champ visuel est un examen de référence pour vérifier si le nerf optique fonctionne bien. Il s’agit là de mesurer pour chaque point de l’espace, quelle sera la plus faible lumière que vous pouvez voir. Une anomalie du champ visuel évoque souvent un début de glaucome.

Si le diagnostic de glaucome est posé, la répétition des champs visuels permet de suivre l’évolution de la maladie. 

EN SAVOIR PLUS SUR LE CHAMP VISUEL

C’est aussi un examen de référence, il permet de vérifier l’état du nerf optique et de ses fibres visuelles qui le constituent. Une diminution de l’épaisseur de ces fibres d’un œil par rapport à l’autre ou par rapport à la population normale du même âge, évoque un début de glaucome.

C’est une photographie du fond de l’œil.

La rétinographie du fond d’œil est une technique d’imagerie médicale qui permet de capturer des images détaillées de la rétine, la partie interne de l’œil qui contient les cellules photoréceptrices responsables de la vision. Cette procédure est non invasive et indolore, et elle est souvent réalisée dans le cadre d’un examen ophtalmologique de routine.